19ème sortie pour les Trempeurs : Randonnée Les Pinnacles sur 2 jours (départ à 13 trempeurs, retour à 10 ?!)



Samedi 4 décembre 2010, première randonnée (premier week-end exactement) avec les Trempeurs, rendez-vous pris à 11h30 (en réalité 12h) sur le dernier parking au bout du bout. Première étape pique-nique, sur le parking pour commencer puis au bord de la rivière pour le dessert.

Nous avons déjoué les prévisions météo qui nous annonçaientt un ciel couvert et des averses. Au lieu de cela, nous avons eu un parcours ensoleillé et peu venteux.
13h réel départ pour la randonnée, nous suivons le chemin, pardon les marches! empruntées par les chevaux qui transportaient les Kauris ; petite précision ….



13h15 premier arrêt, le premier d’une longue série ce qui nous a permis d’apprécier le paysage à sa juste valeur.

A mi-chemin, premier quiz de Boris : « comment se sont formés les Pinacles ? » Comme la question a été posée à l’aller comme au retour, nous vous donnerons sa réponse en vous décrivant le chemin du retour.

le balcon est construit autour du kauri
Arrivés à la « Pinnacles Hut », surprise surprise…le refuge peut contenir 80 personnes et nous étions en effet presque 80 dont bien 40 voire 50 adolescents plein de vivacité et d’énergie ! Il y avait aussi un certain nombre d’enfants de moins de 10 ans qui couraient autour du refuge et ce après une bonne journée de marche, ce qui nous a fait oublier sur le champ toute fatigue et courbatures naissantes.
Après avoir posé nos affaires et après un bon goûter bien mérité, nous avons entamé notre dernière ascension vers notre destination finale : le sommet ou summit.
562 marches, un peu d’escalade soit 30 minutes plus tard, nous voilà en train d’observer de magnifiques paysages et une vue imprenable sur la baie du Coromandel. 








   De retour au refuge, nous avons tous été courageux en allant prendre notre douche froide. Dîner, jeux de carte puis dodo. Contrairement à toutes attentes, les ados se sont endormis rapidement et sans trop de bruit, on pourrait même dire que nous en avons fait plus qu’eux. 
qui ronfle?

Dimanche 5 : 6h44 réveil en fanfare pour les ados ! Nous les avons gentiment laissés se préparer. Nous nous sommes finalement levés un peu plus tard, après qu’un des deux garçons (le français) ait tiré avec insistance sur les sacs de couchage des lits du dessus.  
En guise d’échauffement, et après un petit déjeuner bien sûr, nous sommes allés voir l’ancien barrage qui était un des moyens utilisés pour transporter les troncs de Kauris. 10h levée de camp et début de longue descente qui a commencée par une beaucoup trop longue montée. 

Temps toujours aussi clément.
Après une nuit de réflexion nous étions en mesure de répondre à l’énigme du weekend : « comment se sont formés les Pinnacles ? ». Alors, les Pinnacles sont ce qui reste des volcans après l’érosion. En simplifié, la partie que l’on voit est le magma solidifié. Et pour plus de renseignements, vive Google.

Pour en revenir à notre randonnée, nous nous sommes arrêtés au milieu de la rivière pour déjeuner. Il est toujours très important de faire des pauses et de se réénergiser lors de longues marches !

Une fois requinqués, nous avons suivi l’ancienne ligne de train, autre moyen de transport des Kauris et peut être le plus dangereux au vue du dénivelé de la pente.







Après une étude approfondie de la flore grâce aux connaissances de Nathalie et à son petit livre, nous avons atteint la rivière, ultime étape avant le parking.
Nous en avons profité pour nous délasser, les pieds au frais dans la rivière (avec un goûter). Les garçons ont essayé d’attraper deux anguilles puis se sont attelés à  la construction d’un barrage. 

Nous avons tous bien profité de ce super weekend.
Merci encore à Nathalie pour toute l’organisation.



P.S. : Pour ceux qui se posent la question, non nous n’avons pas égaré de trempeurs en chemin ! Aurélien, Marie et Sandra sont les trois courageux qui ont fait l’aller retour dans la même journée. D’ailleurs, ils ont mis beaucoup moins de temps au retour qu’à l’aller…

le vagabondage de Claire à Mount Auckland, le 31 octobre 2010 (18e sortie)

 J'étais très heureuse d' aller à Mount Auckland dimanche dernier. Le matin, Aurélien m'a prise à ma maison. Et il y avait d'autres personnes assises dans la voiture. Nous causions durant toute la route. Après que nous soyons arrivés, nous avons commencé la montée. Pendant le processus, nous parlions le français. Les gens ont des travaux varies, tels que le travail dans le musée, université,comme le traducteur et certains juste sont allés à Auckland pour des vacances et le travail d'été holiday. J'ai pratiqué mon français en parlant avec eux, et je pense que j'ai bénéficié beaucoup parce que je pense  que la meilleure manière d'apprendre le français est en parlant. Et la montagne était si belle. Nous pouvions voir le rivage à partir du haut de la montagne. Et il y avait un bon nombre d'arbres et fleurs et quelques vaches. C'était étonnant de marcher dans les arbres.  C'était comme une grande forêt.
Après la marche, nous sommes allés à la piscine. Cela détendait ainsi pour nager après le vagabondage. Et nous avons continué à parler là et sommes allés à la piscine chaude. C'était fantastique juste pour se détendre et causer dans la piscine et la piscine chaude.
Le soir, plusieurs de nous sont allés à la maison de Nathalie. C'était une maison très belle. Et nous avons mangé des tapas et bu du vin là et avons causé  de quelques choses intéressantes.
J'étais vraiment heureuse de rencontrer beaucoup de gentilles personnes ce jour.
J'ai vraiment apprécié le vagabondage et je souhaite pouvoir faire le prochain voyage.

le week end au ski est annulé

La route à la station est fermée, les pistes sont fermées et la tempête de neige s'amuse bien sur la montagne. Il y aura de la bonne neige dés que le soleil refera son apparition, mais ce ne sera pas pour ce weekend! Alors dommage mais il faut annuler le weekend...de toute façon on n'était pas nombreux...

Huia, Farley Track



Pour cette 17e sortie, Les Trempeurs se sont dirigés vers leur terrain de jeu préféré, les Waitakere. Nous mettons aujourd’hui le cap sur Huia, dont la « ville » la plus proche, Titirangi, se situe à une quinzaine de kilomètres. La ballade du jour s’annonce sous les meilleurs auspices. De bon matin, le soleil nous honore de sa présence après de nombreux jours pluvieux sur la région d’Auckland. Nathalie nous avait d’ailleurs prévenus, il faut s’attendre à trouver de la boue sur notre chemin. Mais qu’importe, il en faut plus pour arrêter un Trempeur. Et c’est finalement à … 3 que nous montons à l’assaut de Farley Track.


Agneaux et Lower Huia Dam sont les premières attractions de la journée. L’appareil photo est déjà dégainé.

Nous ne tardons pas à entrer dans le bush où les choses sérieuses commencent. Car si le début de la ballade se passe sans trop de problèmes, il faut vite se rendre à l’évidence : la boue est là, et bien là. Nous avançons cependant très bien sur la première partie de la ballade. Le soleil en revanche s’est fait distancé et, au loin, c’est l’orage qui se fait rapidement entendre et il est temps de dégainer les imperméables et les couvre-vents avant l’arrivée de la pluie. La forêt nous protège cependant assez bien et nous arrivons au lieu de pique-nique sans encombre et peu trempé – ce qui aurait été le comble pour des trempeurs !



Nous profitons d’une belle vue sur Bryan Bay tout en nous restaurant. Comme nous précise Nathalie, « vous nagez tout droit et vous arrivez en Australie ». Je crois cependant que, pour cette fois, on passera notre tour. Peut-être pour une prochaine aventure…


Rassasiés et (presque) sec, nous nous remettons en route. La boue croisée jusqu’ici n’était, semble-t-il, qu’un maigre avertissement de ce qui nous attendait lors de la 2e partie de notre marche. Les yeux rivés au sol afin de voir où nous mettons les pieds, les mains à la recherche d’une branche de sauvegarde en cas de glissades non contrôlées, nous continuons notre route. A plusieurs reprises et à tour de rôle, il s’en est fallu de peu que nos pieds ne soient plus la seule partie de notre corps à être couverte de boue…

Mais la magie des Waitakere est toujours en action et, à la sortie d’un virage, nous découvrons une petite cascade qui sera l’objet de notre seconde pause photo. A partir de là, nos yeux toujours à la recherche d’un endroit sec où poser les pieds, nous suivons Huia Stream et nous profitons du silence ambiant pour chercher l’équilibre de son parfait : car quoi de plus reposant que le son d’une rivière s’écoulant tranquillement au milieu de la forêt ?


Finalement, nous atteignons le pont marquant la fin de notre ballade mensuelle. Nous avons vaincu la boue et prouvé que rien n’arrête un trempeur : ni la pluie, ni le froid, ni la boue. Et histoire de casser la routine, plutôt que l’habituelle photo de groupe, nous immortalisons nos pieds trempés et boueux.

Merci encore à Nathalie de dévouer ses dimanches à nous faire découvrir des ballades toujours plus surprenantes !

KAREKARE et ses hauteurs par Amelie (16eme sortie)

9h Beau soleil sur Auckland, la journée s'annonce agréable.
9h30 sur la route la pluie commence à tomber...
10h au point de rendez-vous, les imperméables sont de sortie. La pluie empêche 5 compatriotes de se joindre à nous à défaut de bon équipement.
10H30 le groupe est « au complet », nous sommes une quinzaine. Français, Kiwis, Américains et autres se mélangent pour une journée « en français s'il vous plaît! » (ce que Nathalie nous répétera plusieurs fois dans la journée :) ) Nathalie nous explique le trajet que nous allons prendre et nous pointe du doigt une montagne, il est temps de partir, tant pis pour les retardataires.
C'est parti pour les hauteurs de Karekare! Le ciel est chargé, la pluie est battante, pas de ciel bleu à l'horizon. Mais rien ne pourra entamer la bonne humeur du groupe!


On commence à faire connaissance dans le bush couvert, David nous donnera quelques noms d'arbres et leurs caractéristiques mais j'ai pas pu retenir les noms. Donc les « palmiers fougères » et les « arbres brocolis » nous entourent et nous protègent un peu de la pluie. On observera aussi que nous ne possédons pas un imper de la même couleur. A défaut d'avoir des couleurs dans le ciel, on en porte sur notre dos!
La montée se fait sans trop de difficultés jusqu'aux premiers points de vue. Une fois en haut on peut observer la plage de sable noir, la cote rocheuse et montagneuse, quelques roches qui jaillissent de la mer. Mer qui est calme et repose tout le monde, moment de contemplation...

Si on se retourne on peut voir les montagnes au loin, la densité du bush est surprenante. Forcement moi je viens de France, je connaissais pas!

Tiens on est sorti du bush et il ne pleut plus! Bonne nouvelle! Dans quelques minutes le soleil sera parmi nous!
On continue un peu, le chemin est maintenant assez plat et facile d'accès. Le soleil fait finalement son apparition. Les premiers estomacs se manifestent et nous décidons de faire une pause déjeuner dans les hauteurs, au soleil, face à la mer. Que demander de plus?!

Nous reprenons la route toujours aussi calme. Nous arrivons rapidement à l'antenne qui annonce le début de la descente. Nous sommes moins confiants quant à la descente, il a plut et la boue risque d'être au rendez vous... Mais plein d'énergie que nous sommes on va pas se laisser impressionner par de la gadoue! Enfin... :D
Quelques glissades et chutes plus tard, nous retrouvons Karekare Road qui annonce la fin de notre périple. Mais Nathalie qui a plus d'une balade dans son sac, nous emmène sur le chemin de LA cascade. Certains la connaissent déjà mais avec la pluie, elle sera certainement plus chargée. Le chemin ne fait que 500m et nous sommes assez courageux pour cette dernière escapade. Effectivement la cascade est magnifique.


Pause pour la photo de groupe et tout le monde retourne à sa voiture!
Fin d'une bien bonne journée, merci à Nathalie et à tout les participants!



à bientôt sur les sentiers...

Rangitoto, le 20 juin 2010 (15e sortie)

Départ à 9H30 du Ferry-building sous une pluie battante. C'est dans ces moments là que la vraie nature des gens ressort, le groupe se divisa en deux, les optimistes pour qui le temps va se dégager puisque la météo l'a dit et les pessimistes qui ont déjà prévu de revenir trempés et malades ...

L'arrivée sur l'île est rapide et nous sommes les seuls à débarquer, l'espace de 4h Rangitoto a résonné français. Rangitoto tire son nom de la traduction maori de "ciel rouge sang", une atmosphère volcanique qui se ressent tout au long de l'ascension car nous sommes cernés par la lave basaltique noire...


Les trempeurs sont montés d'un bon train tout en faisant quelques détours par les grottes et caves formées par la lave. Après une pause déjeuné bien méritée sous le soleil nous repartons pour une après- midi de marche.






Forcé de constater que le groupe ne va pas à la même vitesse et que nous prenons peut être un peu trop notre temps le staff de l'ile nous rappelle à l'ordre pour nous éviter de passer la nuit dans les bunkers.

Retour sain et sauf et à l'heure après une super journée à l'ile de Rangitoto,
Merci Nathalie.

Anawhata mon amour, le 30 mai 2010 (14ème sortie)



Un drapeau français à Waikatere, c'est le groupe Trempeurs, à n'en pas douter!

Comptés sur le chemin grâce à une technique sophistiquée directement héritée de la tradition des colonies de vacances ("Comptez-vous!"), nous confirmons 22 trempeurs ébouriffés, le nez au soleil, heureux que Nathalie ait pensé à réserver pour la journée un ciel bleu de catégorie été indien, sans un nuage. Merci Nathalie!

La descente vers la plage est indiquée par un petit panneau de bois à l'entrée d'un chemin de terre sombre plongeant dans une arcade de feuillage vert pomme. Nous filons en file indienne et en priant pour que la pluie de la veille ne l'ait pas transformée en un toboggan de boue géant. Mais grâce à l'habitude bien française d'être toujours un peu en retard sur l'horaire, nous sommes suffisamment avancés dans la matinée pour trouver un terrain relativement sec.



Au détour d'un dernier virage, la plage apparaît, déserte, de sable noir comme les manuels de volcanologie et les habitués de la Nouvelle-Zélande vous le diront. Fi de la plage de Piha sa fameuse voisine! La plage de Anawhata mérite les cinq étoiles pour son aspect rocheux pittoresque, sa mini-soeur jumelle au Nord et l'embouchure de sa rivière, qui s'appelle, qui l'aurait deviné, Anawhata Stream.

Nathalie s'excuse, elle pensait vraiment que le chemin serait plus glissant, en général les randonnées sont un peu plus difficiles... Mais les délices de la plage de A allaient nous sauver de cette facilité apparente.

D'autres randonneurs, pieds trempés et donc dignes de notre groupe, attirent notre attention sur un chemin à l'autre bout de la place, longeant la rivière et rejoignant le parking. Enfin, les uns assurent qu'il rejoint le parking, d'autres émettent des doutes et invoquent des légendes anciennes d'origine non vérifiée sur sa destination finale.

Qu'à celà ne tienne, explorons! Mais d'abord, déjeunons, tout de même.


Parler de chemin est un euphémisme bien sympathique, le bord de la rivière est en fait un conglomérat de sable et de pierres qui oblige soit à enlever les chaussures, soit à pratiquer l'escalade, les pieds sur des protubérances rocailleuses et les mains, et bien, les mains là ou vous pouvez.
Les photographes préfèrent la voie sèche pour sauver leur équipement, les autres enlèvent gaiement chaussures et chaussettes, d'autres encore plongent brièvement leurs chaussures dans l'eau pour en tester l'étanchéité (enfin ça n'était pas vraiment volontaire!).
Pris à témoin, les palmiers Nikau et les "Tree Ferns" qui surveillent le chemin depuis les origines de cette terre, en rient encore.

Après la traversée des éléments aquatiques et rocailleux, le chemin se sépare, à regret, de la rivière pour s'enfouir dans la végétation, que dis-je, la jungle! L'envie nous vient de plonger dans les ronces, machette à la main, enfin pour ceux qui auraient pensé à prendre une machette. Les trempeurs habillés en short remarquent fort a propos un passage par le bas, ou seules de séduisantes plumettes se déclarent prêtes à caresser nos jambes. Ça tombe bien, personne n'avait de machette!

A bonne allure le chemin rejoint à nouveau la rivière sur un pont fait d'un tronc d'arbre aplani. Les Indiana Jones ont déjà presque tous traversé quand Nathalie suggère que le pont mène a une maison cachée dans le feuillage. Et oui, des veinards qui ont du construire avant que cette magnificence soit déclarée en parc régional, ou bien la résidence du Park Ranger, les paris sont ouverts.
D'ailleurs le propriétaire nous regarde de loin, ramenant ses courses sur un canoë qu'il traîne sur la rivière. Je me demande si le supermarché local accepterait de venir livrer dans ces conditions.
Demi-tour sur le pont donc, après avoir promis à la rivière de revenir en été pour longer ses rives plus en amont. Nathalie retrouve le chemin du retour véritable, un sentier montant, ce qui est logique puisqu'à un moment il faut bien compenser ce que nous avons descendu!


Une pause au milieu de la montée a pour objectif non pas de reprendre son souffle, puisque nous sommes tous des randonneurs bien trempés, mais bien d'admirer la vue dominante sur la baie et de prendre moult photos (ou "heaps of photos" en français dans le texte). Le groupe s'attarde et muse et s'égare en pensée sur un monument rocheux battu par les vagues entre Piha et Anawhata.


Le reste de l'après-midi sera consacré à la tache importante et agréable de contempler la plage au soleil déclinant, en pratiquant son français ou son anglais, à échanger des plans pour les futures randonnées et à s'inquiéter de son niveau d'essence pour rentrer, en fonction des affinités. "Et ça fait longtemps que tu es ici?" est votée question favorite à l'unanimité.


Le 20 Juin, l'île de Rangitoto! Cette fois nous ne pensons pas avoir besoin d'enlever les chaussures pour patauger et rejoindre le chemin, un ferry nous y emmène, parait-il… Mais ne vous fiez pas à l'apparente facilité, nous trouverons un moyen de rendre la randonnée raconteuse d'histoire! A très bientôt, et encore merci à tous et à Nathalie notre G.O. préférée!

le 2 mai, Hunua Falls (13ème sortie)




BALADE DE HUNUA FALLS…
écrit par Alex


Passé le rapide débriefing de Nathalie et sa présentation de la balade, nous nous sommes engagés en direction de cette fameuse cascade. Une pause photo fut prise d'un  pont suspendu faisant face à « Hunua Falls ». Un groupe de jeunes ambitieux venant d’un camp de vacances proche voulait naviguer sur cette piscine naturelle. Le radeau de fortune ne résista pas au poids de la demi-douzaine d’ados.


Quelques clichés furent pris au pied de cette chute d’eau et la  réelle balade commença.
Nathalie ambitionna de passer par un chemin bien singulier et prénommé : « le chemin de l’excitation ».Une grimpette sans issue nous poussâmes à rebrousser chemin. La descente périlleuse donna tout le sens de la dénomination maintenant internationalement connue de ce chemin très particulier. L’aventure passée, nous retrouvâmes le chemin balisé. Une belle heure de marche au milieu d’un typique bush néo-zélandais. L’automne fut remarqué par l’humide fraîcheur matinale que ce type de forêt peut offrir. Palmiers, diverses fougères, Kauri tree, et « Widow maker trees » nous ont accompagnés tout au long de cette montée vers le barrage pour la pause casse-croûte.

The Cossey Dam ( le barrage de Cossey) fut le spot idéal pour un pique-nique ensoleillé. Rassasiés, et en guise de dessert, nous avons entamé quelques conversations collectives autour de la gastronomie, des différences culturelles, et des futures projets de rando.
Sacs à dos ré-épaulés, nous repartîmes vers ce bush vallonné et bordé de petit ruisseau. Quelques singularités de la flore de cette forêt furent notées par notre guide. Le poivre des foret, le papier toilette du bush sont parmi les plus remarqués.

Et, Nous nous retrouvâmes à devoir enjamber ce ruisseau. Un genou droit boueux et un pied trempé furent les seuls dégâts notés pour cette deuxième petite aventure de la marche.



Nous avons finis par la photo de groupe et les remerciements pour l’organisation. Retour vers 16h en covoiturage, les jambes bien toniques, les yeux pleins de soleil et les oreilles reposées par la francophonie ambiante.


En bref, une bien belle boucle ensoleillée pour « Les Trempeurs » du mois d’avril autour d’un site unique et d’une cascade à voir absolument.

Sortie à KareKare le 28 Mars 2010 (12ème sortie)


Dimanche 28 mars 2010. Nous avions tous rendez-vous à 9h30 au parking du Centre d’info du DOC d’Arataki.
Le temps de réunir tout le monde, c’est à 10 que nous partons pour le point de départ de cette rando vers KareKare.
Pour cette première sortie automnale des Trempeurs, Nathalie nous a encore régalé d’une belle balade. Le temps étant de la partie, ce qui ne gâchait rien.
Nous démarrons par un chemin vallonné dans le bush (grimpant un peu au départ). Au passage, nous avons pu observer quelques points de vue assez sympathiques.

En descendant vers la plage, nous empruntons un ponton au-dessus des marais, avant de nous poser pour le pique-nique à quelques mètres du tunnel menant à KareKare.

La pause repas est l’occasion de s’exercer à l’art délicat du pliage de
Flax. Au final des fleurs et des résultats plus inattendus mais tout aussi sympas (Boris s'essayant au tressage de ficelle). Rassasiés, nous reprenons notre route. L’arrivée de ce côté-ci sur THE plage du film “la Leçon de Piano”, offre un panorama saisissant.

Arrivés à hauteur du Rocher qui émerge de l’eau à la moitié de la plage, on a pu observer deux phoques se donnant en spectacle. Après quelques hésitations sur une éventuelle baignade, nous prenons finalement le chemin de la cascade.

L’eau est fraîche, c’est donc un bain de pieds seulement qui nous attend. L’endroit est très sympa et ravira les fans de publicité puisque c’est là que furent tournés plusieurs spot pub (pour des assurances). Cette petite pause est également l’occasion de s’essayer aux ricochets.

Au final, un moment très sympa, partagé entre anciens et nouveaux trempeurs et qui nous aura permis de profiter encore une fois des derniers rayons de soleil de la saison.

le Goldie Bush du 28 fevrier 2010, article de Johana (11ème sortie)

C'est un groupe aux nouveaux visages qui était au rendez-vous dimanche matin à la gare de Swanson, quatre 'anciens' pour douze randonneurs.
Tous, sac au dos, sourire aux lèvres, étions en hâte de découvrir la réserve du Goldie Bush dont Nathalie nous avait dit tant de bien. L'annonce du tsunami n'a fait reculer personne et ne nous aura pas empêché de profiter du soleil et de la baignade lors des 15 traversées de rivière de cette magnifique randonnée. Dès la première traversée d'ailleurs, la quasi totalité du groupe était déjà dans l'eau : ça laissait présager une bonne journée !!
Après un pique nique et de nombreuses pauses les pieds dans l'eau à profiter du cadre somptueux de cette réserve, nous avons rejoint les voitures... et pris la direction de chez Nathalie pour une petite partie de pétanque !!
En somme, un dimanche très agréable qui aura permis à beaucoup de faire de nouvelles connaissances... vivement la prochaine ! "
si vous voulez aussi envoyer un résumé, ne vous gênez surtout pas...