65e le weekend a Waihi Beach



le groupe de 15 étant réuni le samedi soir autour de la table, nous en avons profité pour faire un comte rendu de groupe. Dans le texte ci-dessous chaque police représente une personne différente: tache d’écriture rendue donc bien facile . A vous de lire

Nous étions tous réunis à Waihi pour ce weekend de noël. Le groupe s’est retrouvé  dans un vieux bach que nous avions loué d’avance. Waihi oui ! car le Ricard coule à flot.
Samedi le groupe s’est séparé en trois : vélo, marche ou rester sur place. Les marcheurs sont allés jusqu’aux cascades William Wright. Les cyclistes ont suivis le chemin qui longe les Karangahake Gorges. Ils ont commencé a Waikino, dans un café (hé oui, le réconfort avant l’effort…mais après aussi rassurez-vous !) installé dans une ancienne gare. Pendant ce temps là les marcheurs marchaient avec la faim au ventre, mais la consigne stipulait que le lunch était à la cascade, et la cascade bah elle était très très loin ! Mais bon, quelle bonne surprise.
Entre-temps les cyclistes ont passé des bons moments de dégustation à un vignoble qui se trouve à la fin d’un tunnel d’un kilomètre qui passe en bas d’une montagne. Nous nous retrouvâmes finalement cyclistes ayant cycle et marcheurs ayant marche, au bach, maison de plage. Certains repartirent chiner et d’autres allèrent se baigner. Mais enfin de compte, les raisons principales pour lesquelles on est venu à ce weekend sont la bonne bouffe et le fait de  retrouver les copains autour d’un verre de vin ou de Pastis. Alors à la votre les amis et surtout vive les trempeurs !

64e sortie Hunua Falls

Dimanche 8 Novembre. Rendez-vous 10h… euh 10h30… non départ 11h du parking de Hunua Falls, une première pour Alex et moi. Nous y rencontrons 5 des Trempeurs Rob, le grand organisateur, Didier, Jean, Alexia, Anja, tous prêts pour une aventure dans le bush sauvage, à seulement 40 minutes d’Auckland, au sud-est.
On démarre donc la balade avec une magnifique vue sur la cascade. La première partie, jusqu’au lac est la plus physique, la plupart du temps en montée mais nous a permis de bien discuter, d’apprendre à se connaître et de découvrir quelques merveilles de la végétation comme le papier toilette des Maoris, l’âge des arbres selon le nombre de cercles sur leur tronc, et des magnifiques kauris !!
Nous sommes ensuite arrivés au lac ou nous avons pris d’assaut la seule table pour pique-niquer. Au menu, saucisson, fromages, bon pain et bien sûr la petite bouteille de rouge. Un vrai pique-nique à la française !
Heureusement, le retour s’est fait en descente pour la digestion…
Nous avons fait un petit détour pour pouvoir admirer la splendide cascade de Hunua et pour finir, après tous ces efforts, nous avons eu droit à une succulente glace à la fraise sur le parking. Miam !


Pour résumer, superbe journée ou nous avons découvert une partie d’Auckland sauvage et magnifique, et rencontré des gens vraiment super. Vivement la prochaine aventure !!

Ibai

63e Rangitoto island

Je m'appele Victor , je suis arrivé il y a deux jours en Nouvelle Zélande et mes amis: Michèle "pnl" ainsi que  Didier "funboy" m'ont chaleureusement accueillis.
Ainsi pour une première sortie, Michèle m'a proposé d'être en compagnie de ses amis français , les Trempeurs ...

Nous avons donc fait une randonnée sur le volcan Rangitoto (un des récent volcan,  actif il y a seulement 800 ans ), nous étions donc 15 Frenchies en quête du sommet de la montagne !

Accompagné de notre célèbre exploratrice Nathalie "leadergirl"et de Marck "the Man" en tête de marche,
il ne pouvait rien nous arriver !
Ainsi toute la petite famille se frayait un chemin dans la jungle verte ..
Il y avait une atmosphère très agréable entres nous  malgré le fait que je ne les connaissais pas du tous !
Les filles discutaient entres elles tandis que Kay et Lee "kinggirl" entraient en premières dans les grottes ..
Arrivés au sommet nous avions une magnifique vue sur Auckland, je me souviens que pendant que nous mangions, Rob "The Giant" et Thibault "Business School" parlaient du bon fromage de France ! 
Enfin nous sommes descendus pour rentrer chez nous . 

Finalement nous avons passé une bonne journée tous ensemble entres amis et ça c'est le principal !
Merci a tous !

62e sortie le weekend a la montagne

Comme chaque année, Les Trempeurs ont organisé un weekend hivernal à la montagne. Nous nous sommes donc retrouvés – Claire-Lise, Lee, Alexia, Nathalie, Sofia, Michèle, Marc, Rob, Jean et moi – pour deux jours à côté de Whakapapa, station de ski réputée de l’Ile du Nord et porte d’accès au Tongariro National Park.

Au programme, hormis le diner gargantuesque du samedi soir (Bœuf Bourguignon divin, accompagné de délicieuses courgettes aux oignons, suivi d’un méga plateau de fromage et d’une tarte tatin à tomber par terre, le tout arrosé d’une sélection de vins en provenance de NZ, France et Australie), au programme donc, il y avait le choix entre ski, randonnée pédestre et VTT.
J’ai choisi l’option marche, de même que Michèle, Rob et Jean.   

Mark, Nathalie et Alexia ont choisi les vélos et Lee, Claire-Lise et Sophia ont décidé de faire du ski.









Ne sachant pas trop quel itinéraire choisir, nous sommes allés demander conseil au Centre d’Information de Whakapapa qui nous a très bien ‘vendu’ la marche vers les Tama Lakes – petit dénivelé, vues magnifiques sur le Mt Ruapehu et le Mt Ngauruhoe (la Montagne du Destin dans le Seigneur des Anneaux)
Ne craignant ni les Orques ni l’Oeil de Sauron, on s’est mis en route pour ce qui allait être une superbe journée au grand air.
La rando débute dans une forêt de hêtres puis se poursuit à travers la prairie typique du plateau du Tongariro National Park.
Nous en profitons pour prendre la traditionnelle photo de groupe.



Après un peu moins de 3 heures de marche, on arrive au Lower Tama Lake où on se trouve un coin à l'abri du vent pour pique-niquer. 

Vin rouge, baguette, fromage et saucisson. Plus français, tu meurs! 
 Et effectivement, nous avons profité d'un point de vue magnifique.


 De retour vers Whakapapa, on en profite pour admirer les Taranaki Falls avant de se relaxer dans les salons douillets du Chateau Tongariro Hotel.






Récit de Didier

61e sortie: accrobranche et piscines d'eau chaude


On était un petit groupe de 7 personnes à pointer a Tree Adventures, activité acrobatique en hauteur, qui est installée à Woodhill Forest depuis 10 ans déjà. On a eu de la chance puisqu’il faisait assez beau.
On a reçu les instructions d’un guide, suivi d’un entraînement. Et puis hop! Heureusement, il y en avait parmi le groupe qui avait déjà fait de l’accrobranche. Cela aide quand on ne sait vraiment pas où mettre tel ou tel mousqueton.
On a commencé par le parcours no. 5, suivi par le 6, le 7 et le 8 (mais pas forcément dans cet ordre – va savoir !).  A la fin de ceci, un ‘noyau dur’ voulait absolument continuer avec le parcours No. 10. Ce n’était pas plus long, mais c’était vraiment dans les hauteurs et il fallait faire un grand effort. Le jeu le plus intéressant à mon avis est le flying fox où la descente est amortie par un filet ; ensuite il faut s’accrocher au filet et grimper vers le haut jusqu'au niveau de la plateforme. On a fini la journée aux très exotiques bains chauds de Parakai.
Lorsqu’on s’approche du parc, on voit la station de VTT de Woodhill sur sa droite (activité intéressante à proposer pour une prochaine sortie ?).  
Michael 

60e sortie: Omanawanui

En cette matinée du 17 mai, nous étions une quinzaine de randonneurs bouillonnant de motivation à l’idée de découvrir les magnifiques paysages de Whatipu tout en discutant en français. La pluie n’était pas de cet avis et nous avons reçu quelques gouttes sur la route vers le point de rendez-vous mais cela n’a pas duré. Devant nous s’élevaient deux pics qui semblaient bien hauts de notre point de vue. Pourtant on nous a annoncé que nous serions de retour pour le repas de midi et nous avons donc pris notre courage à deux mains pour commencer l’ascension (après s’être rapprochés un peu en voiture tout de même !)

Nous n’avons pas été déçus. Après une montée qui s’est révélée bien moins longue que ce que nous pensions, nous avons pu nous délecter d’une vue d’autant plus belle que les nuages avaient laissé place à un grand soleil. Nous avons ensuite pénétré dans une forêt recelant des merveilles néo-zélandaises. Mais tout d’abord nous avons dû nettoyer nos chaussures car ces merveilles sont fragiles et une maladie dévaste les majestueux arbres Kauris. Nous avons d’ailleurs pu voir leurs feuilles mortes à terre, signe de la maladie. La forêt était aussi peuplée de palmiers Nikaus, l’espèce la plus septentrionale qui soit. Nous avons même pu voir une jolie coquille de pupu rangi, un escargot de couleur bleue.

La pluie est revenue brièvement avant que l’on attaque la descente, transformant le chemin de terre en toboggan boueux. De nombreuses techniques ont été testées pour remédier à ce problème : s’accrocher aux branchages environnants, préférer les surfaces herbeuses à la terre, suivre les pas du prédécesseur ou même s’essayer à quelques glissades plus ou moins contrôlées. Nous sommes cependant tous arrivés en bas, certains maculés de boue mais tous entiers !

Nous avons ensuite entamé la seconde ascension, étonnamment contents de monter après cette descente périlleuse. Cette deuxième ascension était un peu plus longue et nos estomacs commençaient à réclamer de la nourriture. Ce fut donc un réel soulagement d’arriver en haut et de profiter du panorama époustouflant et tout particulièrement de la vue sur la plage de sable noir. On devinait des vagues assez loin des côtes aux endroits où le fond était plus élevé. Une particularité du coin qui a valu bien des malheurs aux embarcations qui ont un jour essayé de s’approcher. Après une bonne pause et quelques photos, nous sommes enfin redescendus vers le parking où nous avons pu déjeuner. Vin, fromage français et pain étaient présents, un bon réconfort à la française pour se remettre de toute l’énergie dépensée !

J’ai donc passé un moment très agréable pour cette première randonnée avec les Trempeurs. J’ai pu admirer la beauté de la nature néo-zélandaise sous un temps changeant tout aussi typique. L’ambiance était vraiment appréciable et on pouvait facilement discuter avec tout le monde. Vivement la prochaine randonnée !

écrit en cooperation par Mel, Segolene, Anna et???

59e sortie : Anawhata, avril 2015

Lorsque nous nous retrouvâmes en ce lieu reculé d’Anawhata aux alentours de 11h (11h20, diront les mauvaises langues), nous étions loin de nous imaginer que la journée qui nous attendait nous apporterait son lot d’épreuves.


Pourtant, le ton fut très vite donné : dès les premiers mètres on nous annonça que nous, jeunes nouveaux arrivés en Nouvelle-Zélande, et plus spécifiquement dans le groupe des Trempeurs, aurions la tâche – que dis-je, l’honneur ! – d’écrire ce présent compte rendu. Une première péripétie prise avec le sourire : “écrire le compte rendu d’une rando, ça devrait pas être trop compliqué”, nous disions-nous, en l’imaginant déjà : “ A 11h on a commencé à marcher, 4h plus tard on a arrêté, c’était sympa, à la prochaine, bisous tout le monde.” Le seul problème, c’est qu’avec les Trempeurs, ça ne se passe pas exactement comme ca…

Après vingt premières minutes de promenade assez tranquille, nous arrivions face à une rivière. Certains faisaient l’effort de la traverser “au sec”, quand d’autres la traversaient ostensiblement les pieds dans l’eau. En sauraient-ils plus que nous sur la suite des événements…?

Après cette traversée nous étions sensés retrouver une seconde rivière et la suivre. Apres 300 mètres de marche, on se rendait compte que la rivière à suivre était en fait celle que nous avions traversée quelques minutes plus tôt. Premier rebondissement, et seconde traversée de rivière de la journée !

De retour près de l’eau, nous entamions notre descente de la rivière, censée nous amener jusqu’à la plage d'Anawhata, destination finale de la randonnée.
Mais dès les premiers mètres, le chemin longeant la rivière n’en était déjà plus vraiment un… Ce fut le début d’une aventure de plusieurs heures, une escapade dans une nature époustouflante. Difficile de s’imaginer à 40 minutes de voiture du centre ville d’Auckland !

Nous fîmes halte pour déjeuner vers 13h face à une falaise impressionnante, un majestueux rocher entouré par  l'eau accueillant nos - tout aussi majestueux - postérieurs. Comme cela semble être une tradition chez les Trempeurs, les produits français étaient de sortie. La cuisine française et la nature néo-zélandaise, un beau mélange !

Cette journée de marche avec les Trempeurs nous permis avant tout de mieux comprendre le nom du groupe, étant donné  que nous furent contraints de traverser la rivière à moultes reprises (52 fois selon mes chaussures, 18 fois selon les organisateurs). Certains comme Nawal se refusèrent un temps de mettre les pieds dans l’eau, quand d’autres comme Michèle y prirent goût, au point de se « baigner » intégralement.

L’après midi fut riche en superbes paysages (de la forêt épaisse aux bords de rivières plus facile à parcourir, en passant par les gorges de la même rivière), mais également en petites galères. En effet, à deux heures et demie de la tombée de la nuit, nous étions… Comment dire… Un peu perdus.
Nous savions que la mer était derrière la falaise, mais nous ne savions pas comment y accéder : escalader la colline ? "C'est un peu raide", disaient certains, "et derrière c'est peut-être une falaise", ajoutaient d'autres. Fort heureusement, ce fut le moment  que choisit un groupe de marcheurs néo-zélandais pour croiser notre chemin et nous indiquer que le parking où étaient garées nos voitures se trouvait à une vingtaine de minutes de marche.  La plage, où nous étions censés finir notre périple, se situant à plus d’une heure et demie de notre position, nous choisissions de rentrer.

Cette dernière demi-heure de marche fut superbe, avec une vue formidable sur la rivière, la mer, les  vagues dignes d'une plage de surfers, les rayons de soleil qui perçaient tout juste les nuages pour venir éclairer la plage : une vraie carte postale. On ne nous avait donc pas menti sur la beauté des paysages néo-zélandais ! L’occasion de s’attarder prendre des photos, en souvenir de cette journée mémorable, tout en respectant un timing parfait nous permettant d’atteindre les voitures quelques secondes avant qu’il ne pleuve.

Compte rendu de Soizic et Étienne

58e sortie Black rock dam par la riviere

Une fois n'est pas coutume, c'est en "wetsuit" (combinaison de plongée) qu'une dizaine de membres du groupe des trempeurs (autoproclamés "les trempeurs de l'extrême") s'était rassemblée à Piha pour une sortie un peu particulière.
Alors que l'autre moitié du groupe avait opté pour les chemins de randonnées classiques, les trempeurs de l'extrême sont sortis des sentiers battus pour remonter la rivière de Piha,  les pieds (et la tête parfois, n'est-ce pas Michèle?) dans l'eau.
Accompagnés de notre guide Mark, qui connait ce petit coin de paradis comme sa poche, et munis de nos casques de spéléo, nous voilà partis pour deux heures de canyoning au milieu des arbres fougères et des palmiers Nikau...
La première difficulté de la journée fut la mise à l'eau. Il faut dire que l'eau de cette rivière qui descend du sommet de la montagne est bien plus fraiche que celle de la mer de Tasman non loin de là.
Notre petit groupe débute la remontée tranquillement, permettant aux uns d'apprendre à se connaître, et aux autres de se raconter les anecdotes de la dernière randonnée, jusqu'à ce qu'arrive la première difficulté de la journée: une grosse paroi de roche de quelques mètres de haut.
Pendant que les premiers d’entre nous sont aidés par Mark et sa corde pour se hisser jusqu'au sommet, les plus casse-cou s'essayent à l'escalade à main nue. Parmi eux, notre chère Michèle s'est faite, et nous a fait, une grosse frayeur en se retrouvant à tomber en arrière, la tête la première dans l'eau, lui valant de boire une bonne tasse.
Le reste de la randonnée fut plus paisible, rencontrant tour à tour une anguille puis un opossum, et enchaînant les passages sensibles à escalader tantôt roches, tantôt troncs d'arbres couchés dans la rivière, toujours très bien encadrés par Mark.
A plusieurs reprises nous avons même eu l'occasion de sauter dans l'eau de rochers toujours plus hauts les uns que les autres, et même les filles les plus réticentes s'y sont données à cœur joie...
Au terme de deux heures dans l'eau, nous avons rejoins la deuxième partie du groupe, bien au sec, qui nous attendait pour un petit ravitaillement avant d’entamer la descente vers le traditionnel pique-nique.
Notre superbe journée s'est donc achevée au bord de la rivière en partageant pâté, pain maison, et de succulentes pâtes de fruit préparées par Marine et Romaric à l'aide de leur fameux Termomix.
Merci à tous pour cette expérience unique, surtout pour le néo-parisien que je suis, et longue vie aux trempeurs (et aux trempeurs de l'extrême)!
Mathieu

58e sortie, Black rock dam par les sentiers

une riviere.. un peu sèche non???
Vous l'attendiez tous, le voici, avec un peu de retard !    
Au programme : randonnée ou canyoning avec point de ralliement aux Waitakere Ranges.
Nous avons décidé de faire un résumé à deux,  histoire d'éviter les redondances.
Nous nous sommes rencontrés lors du covoiturage avec Robert et Lee aux alentours de 9h30. Alors oui, navrées pour la précision mais nous n’allons pas nous vanter de nous être levées aux aurores cette fois-ci ! Avant de prendre la route de Piha, petit déjeuner chez Jean, au programme des croissants bien croustillants, pour nous rappeler la France et prendre quelques forces avant la balade.
En chemin, nous profitons de la vue magnifique sur la plage de Piha avant d’arriver sur le parking du début de la randonnée où nous voyons déjà les plus aventuriers se préparer à la remontée de la rivière. Nous saluons tout le monde, ravies de pouvoir parler français et de rencontrer plein de gens après seulement quelques semaines à Auckland.
les canyonneurs arrivent
Une fois les présentations faites, les plus courageux partent pour le canyoning tandis que ceux qui préfèrent rester au sec, parmi lesquelles nous nous trouvons, montent à travers le bush pour rejoindre les canyoneurs en haut de la rivière. Didier nous fait faire quelques détours plus ou moins prévus et malgré ces détours et les petites traversées de rivière, la randonnée s'avère être assez facile, ce qui nous permet de papoter joyeusement en chemin ! Nous découvrons aussi comment les anglais utilisaient la rivière et des barrages pour transporter les troncs de Kauri coupés dans les Waitakere. Nous arrivons enfin au barrage, avant les plus aventureux, ce qui nous permet de faire une pause, installés sur les troncs et rochers qui traversent la rivière, en grignotant quelques gâteaux dont le fabuleux gâteau aux carottes de Lee. Après quelques minutes d'attente nous voyons enfin apparaître les aventuriers de l'extrême ! Mouillés et fatigués mais avec de grands sourires aux lèvres. Les deux groupes échangent sur leurs périples respectifs avant de faire demi-tour en direction du parking, en effet les canyoneurs n’ont pu transporter leur pique-nique et tout le monde n’avait pas un « sherpa » à disposition parmi le groupe des marcheurs.
Il est aux  alentours de 14h lorsque nous atteignons le parking où nous nous installons pour un pique-nique convivial, à dévorer le fromage et pain apportés par Rob, accompagné d’un verre de vin… français bien sûr!
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le fameux lion rock de piha
Avant de rentrer à Auckland, petite balade sur la plage pour poser nos pieds sur le fameux sable noir, admirer la majestueuse plage et son Lion (le Lion rock) et tremper nos pieds dans l’eau fraiche de la mer de Tasmanie. 
Pas de pluie, pas de grand soleil non plus mais la bonne humeur était là !!
Merci pour cette première excursion avec les randonneurs, nous avons toutes les deux hâte de vous retrouver pour notre seconde randonnée avec les trempeurs !
Catherine et Nawal"

57e promenade: Upper Nihotupu Dam Track


Randonnée du 11 Janvier -

Merci à Nathalie pour cette ballade que je ne connaissais pas encore.

C'est encore une des ces jolies petites randonnées dont les "Waitakere Ranges" ont le secret. Le "Upper Nihotupu Dam Track" a été créé au début de la construction du barrage (entre 1915 et 1932) et est l'un des 5 barrages construits dans les Waitakere Ranges pour alimenter Auckland en eau.

Si vous la faites sans vous arrêter, c'est une ballade de 1 heure et demie. Mais bon, c'est nous quoi, les marcheurs, mangeurs et baigneurs aussi. Donc, on a mis bien plus longtemps que ça !

La ballade commence au parking sur la route de Piha et dès le départ, nous entraîne dans une partie du bush natif, essentiellement vert... mais pas seulement !
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Nous arrivons ensuite sur une petite route gravillonnée qui nous emmène près d'une splendide cascade dans laquelle les plus courageux d'entre nous iront se baigner au retour. Elle est froide sur le coup mais après... un vrai délice !

A l'aller...
Au retour !
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La pente est douce et nous mène, après 45 minutes acharnées de marche harassante (yeah right!), sur le lieu du pique-nique. Il est temps de se restaurer - sinon, comment pourrions-nous avoir assez d'énergie pour terminer cette ballade ?!

Comment dire... débauche de nourriture, essentiellement des desserts : cerises, fraises, meringues, langues de chats, galette des rois...
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et Thibault passé sous la table (comme le veut la tradition car il est le plus jeune d'entre nous), en train de distribuer les parts de galette des rois – galette qu’il a faite lui-même avec amour ! On a quand même eu un peu de mal à le faire rentrer et sortir de sous la table …

Lisa était la Reine car elle a eu la fève ! (et le bébé serait donc le petit prince...)
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Là où on a commencé à regretter d'avoir mangé autant c’est quand il a fallu continuer la randonnée... vers le haut ! Et oui, il a fallu monter je ne sais combien de marches pour grimper au sommet du barrage. Et c'était raide !
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Et ça valait le coup aussi car là-haut, sur le barrage, les vues sont impressionnantes ! Il y a la vue sur le barrage lui-même et le bush natif et beaucoup plus loin, avec de l'imagination le Manukau Harbour !
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Puis de l'autre côté, la rétention d'eau elle-même qui joue et méandre avec le bush. Arrêtons-nous un instant pour imaginer le décor qu'on aurait pu avoir sans le bassin de rétention ! Vallée encaissée, fougères, paliers, kiwis, moas... non, peut-être pas les moas.
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Le barrage est encore occasionnellement desservi pour des besoins touristiques par une voie ferrée qui était utilisée par les travailleurs du barrage pendant sa construction.
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Finalement, c'est l'heure de revenir et les moins pressés d'entre nous, poètes que nous sommes, prennent le temps de découvrir quelques trésors cachés...
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Venez nombreux nous rejoindre ! Les trempeurs, c'est bien plus que de la marche ! C'est un morceau de vie comme on les aime, avec des amis, de la nature, de la découverte, et aussi ... de la bonne chère !
A bientôt !

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